Règlement et lutte contre le dopage

Règlement et lutte contre le dopage

Règlement 

Lutte contre le dopage

La FFESSM et la CNA sont activement engagées dans la lutte contre le dopage. L'équipe d'organisation sera composée de bénévoles ESCORTES anti-dopage.

La FFESSM est une fédération sportive. Nous y pratiquons des sports de loisirs et des sports de compétition. Comme toute fédération sportive déléguée, nous avons un plan de lutte contre le dopage.

Les contrôles antidopage sont effectués par un ACD, agent de contrôle du dopage, médecin le plus souvent, qui dispose d'une accréditation de l'AFLD, agence française de lutte contre le dopage. Lors de ces contrôles, sur le lieu de la compétition ou le lieu de l'entraînement , il a besoin de l'assistance d'un ou d'une « escorte » qui vont être missionnés pour la surveillance de l'athlète contrôlé, depuis sa notification jusqu'à sa prise en charge par l'ACD. Réglementairement cette fonction est prévue à l'article R 232-56 et 57 du code du sport.

Il est indispensable lors d'une compétition officielle, quel qu'en soit le niveau, de disposer d'escortes des deux sexes, pour rendre possible la mission de l'ACD.

Qui sont les escortes  : Ce sont des personnes majeures licenciées à la fédération, elles sont spécialement formées pour remplir leur mission. Et du même sexe que le sportif qui serait contrôlé. Elle s'engage à respecter la confidentialité des renseignements reçus. Ces formations sont assurées par la FFESSM et complétées par une information sur le dopage, une sensibilisation aux impacts négatifs de celui-ci et aux mesures de préventions préconisées par la FFESSM. La formation donne lieu à une certification matérialisée par la délivrance d'une carte « escorte ». Le coût de cette carte est entièrement pris en charge par la fédération. Cette certification permettra à l'escorte d'assurer sa mission de surveillance de l'athlète lors d'un contrôle. A partir de sa notification, l'Escorte surveille et ne quitte plus le sportif soumis au contrôle, entraînant au sportif qu'il ne doit pas uriner avant le contrôle mais qu'il peut boire des bouteilles d'eau fermées hermétiquement que lui fournit l 'organisation. Il accompagne le sportif dans les locaux de salle de contrôle anti-dopage jusqu'à ce qu'il soit pris en charge par l'ACD.